Je ne serai pas (très) long aujourd’hui. Semaine très chargée, sans compter une grosse grippe qui me tourne autour depuis deux jours. On va commencer tout de suite avec ses quelques photos qui m’ont été envoyées par une amie de Mayotte pour vous rappeler qu’à l’heure où la France a les moyens d’offrir du vin à 2 700€ la bouteille au Roi d’Angleterre en visite au Château de Versailles, elle n’est pas capable d’offrir un peu d’eau aux citoyens français de Mayotte qui ont soif.
On passe à l’après-sénatoriales à présent. La droite de Michel Fontaine, Cyrille Melchior et d’André Thien-Ah-Koon, avec 478 voix, exulte ; Ericka Bareigts (PS) et ses soutiens Gironcel, Selly, Técher et Hoarau avec 337 suffrages, sont aux anges ; Huguette Bello (PLR) et sa candidate Evelyne Corbière (288 voix) auraient préféré terminer devant Bareigts, mais ce n’est pas le cas ; Jean-Jacques Morel (sans étiquette) avec 80 voix s’en tire plutôt bien même s’il n’a pas décroché de siège ; Florence Chane-Tune (Croire et Oser, 39 voix) ne s’en sort pas mal non plus ; Michel Vergoz (Trait-d’Union, 71 voix) décroche littéralement ; Mario Lechat (avec le soutien du groupe majoritaire de Sainte-Marie, 30 voix) se ramasse.
Rappelons que Renaissance, le parti de la majorité présidentielle, ne s’est pas positionné dans ce scrutin à la Réunion. Une façon de montrer qu’elle n’apportait pas son soutien à Michel Vergoz puisque d’autres candidats Macron-comptatibles étaient aussi engagés sur la liste de la droite et des centres de Fontaine/Melchior/Tak.
Il suffisait de voir les présents dans la cour de la préfecture, dimanche soir, au moment de la proclamation officielle des résultats, pour comprendre qui pouvaient se considérer comme les gagnants de ce scrutin. Petit retour en photos sur la journée de dimanche (ça m’évite de trop écrire).
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La socialiste Audrey Belim, dans les bras d’Ericka Bareigts, la patronne du PS, maire de Saint-Denis et vice-présidente de Région. La nouvelle gauche en pleine ascension. « On ne va pas s’arrêter en si bon chemin », a prévenu Ericka Bareigts, au lendemain des sénatoriales, entourée de ses soutiens Maurice Gironcel (Sainte-Suzanne), Patrice Selly (Saint-Benoit), Olivier Hoarau (Le Port) et Jacques Técher (Cilaos). Objectif : 2026 et 2028 !
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Les résultats sont maintenant connus. Les nouveaux sénateurs Audrey Bélim, Evelyne Corbière, Stéphane Fouassin et la réélue Viviane Malet ont pris l’avion depuis lundi soir pour aller s’enregistrer auprès du Sénat et s’installer, du moins commencer à s’installer.
Une nouvelle vie débute pour les trois nouveaux sénateurs. Pas pour Viviane Malet. Derrière, il va falloir assurer. Je pense notamment à Stéphane Fouassin qui a été maire de Salazie depuis 25 ans. Faudra tout mettre en œuvre pour sauvegarder la cohésion de l’équipe majoritaire au moment de la succession. On peut dire aujourd’hui, au vu de ce qui s’est passé lundi dernier, que le groupe est divisé en deux. 11 élus pour Mario Moreau, le 8 ème adjoint délégué aux finances et 11 pour Sidoleine Papaya, la 1ère adjointe et conseillère départementale. Logiquement, on aurait pu penser que le poste revienne Mario Moreau étant donné qu’il est élu à la mairie depuis 36 ans : il a commencé avec Hilaire Maillot, est à l’origine de la venue de Fouassin en politique, s’est toujours vu confier les principales délégations telles que les finances et les affaires générales, a toujours été fidèle et loyal à Fouassin.
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Mais face au score égalitaire de 11 voix entre lui et l’autre postulante, Mario Moreau dont on connaît l’humilité, a préféré se retirer pour laisser le fauteuil à Sidoleine Papaya qui, d’après certains élus de Salazie, aurait menacé de démissionner si elle n’obtenait pas le poste de maire. Elle a du caractère (et beaucoup d’ambition) la petite dame!
L’affaire a été réglée. Tant mieux pour la majorité municipale. On me dit que Stéphane Fouassin n’a pas souhaité se mêler du choix de son successeur, mais je me dis aussi que s’il voulait vraiment de Mario Moreau, il lui aurait suffi de dire un mot et les élus l’auraient sûrement suivi. Mais on ne va pas refaire le film. Mario Moreau pourra toujours se présenter aux municipales de 2026 s’il le souhaite. Stéphane Fouassin, qui restera conseiller municipal du cirque, sera avant tout retenu à Paris, au Sénat, jusqu’en 2029. Une nouvelle vie commence aussi pour sa compagne, qui ne le lâche d’une semelle. L’amour lé doux, comme dirait ma consœur Rocaya !
En parlant d’amour, les sénatoriales, c’est aussi l’occasion de revoir des élus qu’on avait pas vus depuis longtemps. Déroulement du scrutin oblige, à savoir un seul lieu de vote, tous les grands électeurs se sont ainsi retrouvés dimanche dernier à la préfecture. Certains sont arrivés avec leur groupe respectif tout en gardant une discipline militaire, en marchant presqu’au pas. Donc, je reviens à mon début de phrase, pour vous parler d’amour. J’ai revu Amandine Ramaye, la vice-présidente de Région, du groupe Résistanz 974, présidé par le député La France Insoumise Jean-Hugues Ratenon. Toutes mes félicitations à Amandine ! L’heureux événement est prévu pour le mois de décembre d’après mes informations. Le cadeau de Noël ! Regardez les photo ci-dessous, prise dimanche dans le bureau de vote et sur le perron de la préfecture.
Je tiens à préciser quand même qu’Amandine Ramaye, c’est celle qui est au centre avec la robe blanche et noire et le sac marron sur les épaules, juste à la droite du député Ratenon. A ne pas confondre ! Les photos peuvent être parfois trompeuses en matière de ventre rond. N’est-ce pas Monsieur le député !
Sur cette photo, si vous suivez un peu la politique, vous reconnaîtrez Philippe Le Constant, l’ex socialiste de Saint-Benoit (chemise bleue juste derrière le député insoumis) qui a, depuis, basculé dans le camp de Ratenon et de Bello depuis 2021. Vous y verrez aussi Jean-Luc Julie. Le Constant et Julie qui ont tenu une conférence de presse au lendemain des sénatoriales (mercredi plus précisément) pour dégommer le bilan à mi-mandat de Patrice Selly que Ratenon ne peut pas blairer. Et vice-versa. Selly qui, pour rappel, était sur le soutien de la liste Belim, la protégée de Bareigts. Jean-Luc Julie n’y est pas non plus allé de main morte contre Patrice Selly. Julie qui roule aujourd’hui pour Ratenon, donc pour Bello mais qui a été au cabinet de Didier Robert. D’ailleurs son nom figure dans les PV d’enquête judiciaire concernant les emplois dits du cabinet que certains qualifient « d’emplois fictifs ». Politique et éthique, tout un programme !
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A-t-il des leçons à donner au maire de Saint-Benoit ? Patrice Selly qui a déjà assez de soucis à gérer avec d’un côté ses opposants qui lui font du rentre-dedans, mais ça c’est de la politique, me direz-vous. Sans compter ses syndicats qui s’allient contre lui pour dénoncer « le manque de dialogue social » à la mairie de Saint-Benoit. Et, ajoutez à cela, l’affaire de la SPL Estival, on peut dire que le sommeil ne doit pas être facile. D’autant que, comme l’a révélé le JIR, jeudi matin, tous les dégâts de l’incendie du siège de la SPL Estival ont été retrouvés sur un chemin colonial dans la commune de Joé Bédier, à Saint-André. Renseignement pris, il s’agirait d’une société de nettoyage, un sous-traitant de la SIDR, propriétaire de l’immeuble Fragrance à Saint-Benoit où se trouvaient les bureaux de la SPL. Un entrepreneur qui va jeter des dégâts pareils sur un chemin de Saint-André… Franchement là, il faut vraimentavoir un petit pois à la place du cerveau pour agir de la sorte !
Ludovic Alamélou, ancien Pdg de la SPL, a été révoqué début août. L’autorisation de nettoyer les lieux a été donnée par les gendarmes tout récemment. Pour une fois, Alamélou (notre photo ci-dessus) n’est pour rien dans ce nettoyage « gros doigt ». Mais, malgré tout, on a retrouvé une facture de téléphone (plus de 1 700 €) dans le tas d’ordures bien « jeté » à la vue de tous, un peu comme si on voulait encore charger la mule à Alamélou. A suivre !
Revenons à l’après-sénatoriales. Rassurez-vous, la majorité régionale n’a pas encore explosé et, à mon humble avis, elle n’explosera pas. Ericka Bareigts qui détient aujourd’hui le leadership à gauche pour avoir terminé en tête des sénatoriales, n’a pas du tout l’intention de remettre en cause la présidence d’Huguette Bello. Elle l’a redit lors de sa conférence de presse, lundi dernier, au lendemain des sénatoriales. Elle a insisté en revanche sur trois mots : « respect, honnêteté et transparence ». Elle demande à la présidente « une amélioration de la gouvernance régionale ». Autrement dit, elle demande à la présidente de demander au cabinet de ne pas considérer les élus de son groupe comme des larbins suiveurs mais comme de vrais partenaires. Elle demande à la présidente de demander à son cabinet d’associer ses élus aux prises de décisions et non pas que ces derniers découvrent les dossiers au dernier moment, avant une réunion de commission. Exemple, l’avenant concernant la NRL, le deuxième viaduc notamment, dossier considéré comme très important pour les finances de la collectivité. Bareigts veut plus de concertation, une concertation qui devrait être évidente dans le cadre d’un travail de groupe majoritaire. Autre exemple : le financement du déplacement de la statue Mahé de Labourdonnais, en ne privilégiant pas sa décision personnelle aux règles européennes qui prévoient ce genre de financement. Bareigts aurait aussi aimé être au fait des embauches faites par Bello et son cabinet dans les lycées de l’île, pratiques que l’opposition de l’époque n’avait pourtant cessé de critiquer lorsque Didier Robert présidait la Région. Bareigts et les siens souhaitent vraiment travailler « dans le respect, dans l’honnêteté et dans la transparence » jusqu’en 2028, c’est-à-dire jusqu’à la fin du mandat. Est-ce que tous les élus de la majorité régionale pourront se montrer disciplinés d’ici à cette échéance ?
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Difficile si l’on devait en juger par ce qui s’est produit lors d’une réunion de commission où EGIS (encore ce cabinet d’études tant critiqué par Bello et consorts durant la mandature de Didier Robert) présentait, ce jeudi après-midi, sur l’avenir de Pierrefonds. Présents physiquement à cette réunion, les élus suivants : Céline Sitouze, Fabrice Hoarau, Wilfrid Bertile, Jean-Bernard Maratchia pour la majorité et Patricia Locame Vaissette pour l’opposition. Puis, en visio : Patrick Lebreton, le 1er vice-président, Normane Omarjee, vice-président et Virginie Gobalou-Erambrompoullé. L’étude montre qu’il faut investir dans l’aéroport de Pierrefonds. L’aéroport de Pierrefonds est géré par le Syndicat mixte présidé par André Thien-Ah-Koon, maire du Tampon et président de la Casud. Autour de l’aéroport de Pierrefonds, il y a la zone d’activités économiques gérée par la SPL Grand Sud présidée par le maire de la Petite-Ile, Serge Hoareau. Patrick Lebreton fait comprendre que la Région met de l’argent, mais tout cela est géré, malgré tout, par des adversaires politiques. Il ne le dit pas comme ça. Virginie Gobalou-Erambrompoullé lui fait remarquer que cette zone d’activités appartient à l’intercommunalité du Sud. Lebreton rappelle que la loi Nôtre existe à présent.
Mais le plus comique est à venir. En tant que 1er vice-président et président de cette séance, il la lève (la séance), puis se lève à son tour et dit, sans doute pour plaisanter, à Mme Gobalou : « tu passeras le bonjour à Michel Fontaine et à Ericka Bareigts ! ». Toutes les personnes présentes dans la salle, élus, administratifs et membres du bureau EGIS, ont entendu. Ah ce Patrick ! Il n’a toujours pas oublié son « Grand-Raid à l’envers Saint-Denis/Saint-Pierre » ou encore « cet axe Bareigts/Fontaine aux sénatoriales ». Il aime bien « casse lé cuit ».
Faudra vite tourner la page de l’après-sénatoriales et apprendre travailler main dans la main. Faudra écouter les conseils d’Emmanuel Séraphin qui, sur Réunion la 1ère, lundi soir, a appelé à « travailler ensemble » autour de la présidente « qui est la seule à tenir le volant, parce qu’il n’y a qu’un seul volant ». Un seul volant certes, mais plusieurs passagers dans la même voiture… Rendez-vous le 6 octobre prochain pour la réunion de la commission permanente. Une belle occasion pour prendre la température de l’après-sénatoriales ! Encore un petit mot sur la Région pour vous dire que Valérie Picard (affaire présumée d’harcèlement à la mairie de Saint-Paul) travaille depuis un peu plus de deux mois à la pyramide inversée en tant que chargée de mission « Autonomie alimentaire ».
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Je vous parlais des conséquences de l’après-sénatoriales. A l’Etang-Salé aussi c’est assez folklorique. Rappelez-vous, la 2ème adjointe de Mathieu Hoarau était colistière de Florence Chane-Tune, alors que le maire de l’Etang-Salé soutenait la liste de droite et des centres. Elle s’était fendue d’un communiqué dans lequel elle dénonçait « toutes formes d’autoritarisme, d’humiliation, de pression et de chantage à l’emploi ou aux versements de fonds publics dont les fonds européens, qui violent des libertés constitutionnelles dont celles de penser, de s’exprimer ou de participer à des élections, sont inacceptables et doivent être purement et simplement refusé en bloc ». Elle écrivait dans ce même communiqué, avant les sénatoriales : « il n’est donc acceptable de la part de M. Mathieu Hoarau de faire fi des engagements de campagne (respect, éthique et probité) et de pratiquer à présent en toute décontraction des méthodes d’un autre temps qui consistent à vouloir contraindre des élus de proximité à voter comme on leur dicterait, n’hésitant pas à les menacer de sanctions par retrait de délégations et de communiqués téléguidés. Chaque élu, chaque citoyen est libre de défendre dans le cadre légal ses convictions… ».
Pour tirer les choses au clair et avoir, de vive voix, une explication de sa 2ème adjointe sur les « accusations » publiquement proférées, Mathieu Hoarau a invité, le mardi 26 septembre à 17h30, tous les élus à une réunion en mairie. Il s’agissait de la même occasion de faire un débriefing des sénatoriales. Une réunion calée depuis le 11 septembre dernier. Tous les élus avaient été informés. Tous les élus étaient présents à ce rendez-vous du 26 septembre, sauf une : Isaline Tronc. La question a été posée clairement par le maire aux élus présents : « Est-ce que vous avez été contraints de voter pour tel ou tel candidat ? Est-ce que vous avez fait l’objet de menace ? Est-ce qu’une consigne de vote vous a été donnée par le maire ? ». Les élus présents ont unanimement répondu : « non ». Ils considèrent les propos tenus par Isaline Tronc à l’encontre du maire et d’eux-mêmes comme «diffamatoires, mensongers et graves ». Si cette dernière ne présente pas ses excuses au maire et à tous ses collègues, elle pourrait dans ce cas être sanctionnée par un retrait de délégations, outre une plainte pour diffamation.
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A propos de plainte, c’est un jeune chanteur de rue, Fabien Mayot (nom d’artiste, en réalité il s’appelle Maillot), qui s’en est pris une, bien réelle, le week-end dernier. Le jeune homme de 23 ans, tamponnais, est un passionné de musique, il aime chanter, un peu de tout mais beaucoup de variétés françaises. Il chante dans les marchés forains de l’île, à Saint-Paul, l’Etang-Salé, Saint-Leu, Saint-Pierre et, bien entendu dans sa ville natale où il habite, à savoir le Tampon. Sauf qu’un marchand pas content a porté plainte. Lundi dernier, le jeune chanteur de rue a été convoqué à la mairie du Tampon par Jean-Michel Corré qui lui a signifié une interdiction de chanter au marché forain du Tampon ainsi que dans les rues de la commune. Il ne sera plus invité à chanter aux Florilèges. Faut croire que le marchand de légumes a le bras long. Tout ça pour quelques belles chansons qui, en plus, sont très appréciées du public.
La mairie lui a demandé de se déclarer. C’est fait. Fabien Mayot ne demande qu’à chanter. Il ne réclame ni logement, ni boulot, ni petit contrat ou autre aide du CCAS. Il veut chanter, seulement chanter, qui plus est gratuitement ; Pour lui, chanter dans la rue, c’est un peu comme un entrainement parce qu’il souhaite vraiment faire carrière dans ce domaine. C’est son rêve. Suis sûr que le maire, André Thien-Ah-Koon n’est pas au courant de ce dossier, car interdire un jeune homme, en plus Tamponnais, de chanter dans la rue de sa commune où ses parents payent des impôts, ça ne lui ressemble pas. Nul doute que le maire va réexaminer cette affaire. A suivre !
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Pour finir, quelques nouvelles du CCAS de Sainte-Marie où, comme les semaines précédentes, une réunion a eu lieu hier soir concernant les tarifs des activités périscolaires. Une bonne nouvelle, enfin, pour les parents qui ont tenu tête au maire et à son équipe du CCAS. Ils ont pu faire plier le CCAS qui a revu et corrigé lesdits tarifs. Les parents qui restent malgré tout très vigilants devraient payer en cette fin de mois des tarifs beaucoup plus raisonnables que ceux qui avaient été votés le 8 août dernier, suite à un gros délire du nouveau bureau du CCAS. Tout était mal, qui finit bien ? A suivre, là aussi ! La semaine prochaine, je vous parlerai un peu de Saint-Leu, de la Maison de la mer ou plutôt de « l’amer ». Je reçois beaucoup de messages à ce sujet.
Oups ! J’allais oublié. J’ai reçu, cette semaine, ce tract dans ma boîte mail. Je partage !
Y.M.
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